Les Fabuleuses

 

Produit par GoFilms, Les Fabuleuses explore les réseaux sociaux et les influenceurs de fond en comble.

 

 

Une nouvelle venue dans le trio des Fabuleuses

Le film raconte l’histoire de Laurie Gagnon, qui, au bout de trois mois de stage, ne se fait pas offrir d’emploi comme rédactrice car elle n’a pas assez de followerssur Instagram. Lors d’une soirée avec Élisabeth, elle fera la rencontre de Clara Diamond, la star d’Instagram et de YouTube et un changement de personnalité s’opérera sur Laurie. À la base, ce film est tiré de la websérie les stagiairesdiffusés sur YouTube sous la bannière de Vrak. De la websérie au film, du trio original, seulement Mounia Zahzam est la petite nouvelle du trio. D’ailleurs, son jeu est sincère et elle n’a pas besoin de se forcer pour montrer une émotion. Le reste du trio est composé de Noémie O’Farrell connue pour son rôle dans l’heure bleue ainsi que Juliette Gosselin pour ses nombreux rôles depuis l’enfance. Tout comme la série ‘’sur moi’’ sur Tou.tv Extra, on met l’emphase sur le fait que ce que les influenceurs montre sur les réseaux sociaux sont souvent qu’une infime partie de leur vie.

 

 

Se coller à la réalité du mode de vie des influenceurs

L’écriture de Mélanie Charbonneau s’est amélioré depuis la websérie Les Stagiaires, car je trouvais que la websérie était énormément rempli de clichés, tandis que maintenant on va plus loin que ce simple cliché. Le cinéma dans lequel j’ai été voir le film à côté le film comme étant une comédie dramatique mais je le considère plus simplement comme un drame, parce que ce qui adviendra de Laurie Gagnon après la rencontre de Clara ressemble plus à un drame qu’à une comédie. Charbonneau montre que souvent certaines photos publiées sur Instagram sont stagés et souvent peu collé à la réalité. Le rôle de l’agente jouer par Geneviève Boivin-Roussy qui dicte tous les comportements que Clara doit avoir en fonction du brand qu’elle a, est une autre facette que j’imagine bien vrai. Elle me faisait penser à la présidente du Slingshot, Gabrielle Madé, mais en beaucoup plus méchante. Je ne conseille pas ce film aux enfants de moins de 13 ans car il y a quelques scènes graphiques de sexualité. Sinon, c’est un film grand public.

À voir dans vos cinémas !

 

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.