Produit par HBO, Chernobyl raconte la catastrophe nucléaire de Chernobyl en avril 1986.
Histoire racontée chronologiquement
Créé et écrite par Craig Mazin et réalisé par Johan Renck, cette série en cinq épisodes d’une heure nous donne des indications chronologiques tout au long de notre écoute. On suit un pompier et sa femme et la vie de Valeri Legassov avant, pendant et après la catastrophe, un scientifique qui à jouer un rôle clé dans la gestion de la catastrophe. Il faut se remettre en tête en écoutant cette série que nous sommes dans l’ancienne URSS et que lors de l’explosion, personne ne sait vraiment comment gérer la situation. Les images sont parfois difficiles et pour cela je félicite l’équipe derrière les effets spéciaux car les pompiers atteint par les radiations sont si bien maquillés que j’ai dû fermer les yeux à quelques reprises.
Sentiment d’urgence
Pendant les trois premiers épisodes, nous ressentons l’état d’urgence d’éteindre le feu de la centrale nucléaire. On est vite absorbé. Comme c’est une petite série, on peut facilement regarder ça un jour de pluie et ne pas voir le temps passer. Au quatrième épisode, quand le feu est finalement éteint, on entre dans les dédales judicaires de l’Union Soviétique et dès le départ, ça ne sent pas bon. C’est là où le témoignage de Valeri Legassov deviendra important. Quand tout se termine au dernier épisode, et bien j’en aurais pris encore. Je n’ai d’ailleurs pas grand-chose à dire sur le jeu des acteurs, car la seule actrice que je connais parmi la distribution est Emily Watson qui a jouer dans la voleuse de livres. Actuellement, je manque de mots pour décrire cette série tellement je suis bouleversé. Je souhaite que tout le monde regarde cette série avec les yeux d’aujourd’hui pour ne pas reproduire les mêmes erreurs du passé.
C’est à voir sur Crave !
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