Dans un premier rôle au cinéma, Philipe Audrey Larrue St-Jacques s’en donne à cœur joie.
Distribution québécoise de taille
Dans ce film plutôt rocambolesque, on y fait la rencontre d’Yves Tanguay, ancien joueur professionnel qui veut rejouer avec les barbares après une blessure. Son cousin, JP, rêve de devenir agent de joueur et son rêve passera par son frère. Dans un deuxième rôle majeur au grand écran, Justin Leyrolles-Bouchard en cousin qui veille beaucoup trop sur son autre cousin est fabuleux. La distribution en est une de taille, avec en autres, Maude Landry, Florence Longpré, Jean-Michel Anctil pour ne nommer que ceux-ci. Je n’aurais jamais dit cela avant mais Philipe Audrey en joueur d’hockey lui va bien. L’idée d’avoir fait pousser sa barbe et ses cheveux pour le rôle apportait une autre dimension au personnage. Alexandre Landry fait une apparition aussi en tant que joueur de hockey professionnel. On fait la découverte d’Erin Marguerite Carter dans le personnage de Maureen.
Mi-figue mi-raisin
Avec le film les barbares de la Malbaie, je m’attendais à un vrai film d’hockey comme on a pu voir dans Junior Majeur ou limite Peewee 3D mais pour adulte. J’ai été un peu déçu de voir que c’était un film de roadtrip ou les trois quarts de l’action se passe dans une auto sur une autoroute. Même si c’est surtout la quête d’Yves d’aller rejoindre les barbares à Thunder Bay en Ontario, on suit celle de JP par ricochet. Toutefois, l’essentiel est sur Yves. Le film est très facile à suivre car ils font deux arrêts importants avant d’arriver à Thunder Bay. On peut facilement deviner combien de temps s’est écouler entre le premier et le deuxième arrêt car il nomme les villes à tour de bras. Si vous aimez les films de voyage en auto, vous adorerez ce film, pour les autres s’abstenir. Le hockey est plus un prétexte.
C’est à voir sur Crave !
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