Il pleuvait des oiseaux

 

 

Tiré du livre du même nom par Jocelyne Saucier, cet excellent film est réalisé par Louise Archambault.

 

Quand un mort intéresse une journaliste

 L’histoire est bien simple. À la mort de Ted Boychuck, une journalise, Rafaelle, s’invitera dans un milieu dans lequel elle n’est pas invitée. Quand deux ermites du nom de Charlie et Tom réalise que ladite journaliste veut apprendre plus sur Ted, les deux hommes sont muets. Entre temps, une femme du nom de Gertrude qui se refera baptiser plus tard Marie Desneiges, sortira de son centre pour personnes âgées pour aller vivre avec Charlie et Tom. On apprendra au fur et a mesure que son histoire est troublante. Les quatres personnages principaux sont des gens connus. Il y a entres autres Ève Landry qui joue la journaliste. Rémy Girard joue Tom, une des deux ermites qui apprécie le bois. Son ami, aussi ermite, est joué par Gilbert Sicotte. Gertrude est jouer par Andrée Lachapelle donc on espère que ce ne sera pas son dernier rôle à l’écran, même si elle ne cesse de le dire. Son neveu qui l’accompagne pour rejoindre Charlie et Tom est jouer par Éric Robidoux, connu pour son rôle tenu récemment dans O’.

 

Une comédie dramatique à la saveur des aînés

En soi, ce film, est une comédie dramatique car Rémy Girard joue le clown dans la plupart des scènes. Cette réalisation de Louise Archambault me fait rappeler à quel point la nature est apaisante. Le fait d’avoir tourné dans la forêt Montmorency ajoute une seconde nature au film, car on découvre en même temps, grâce à des plans en hauteur, la splendeur de la forêt. Pendant 2 heures cinq minutes, nous sommes transportés dans ce monde, ou des personnes refusent de vivre en société et vive reclus dans leur bois, leur petite cabane et leur lac. C’est le genre de film que j’écouterais un samedi soir avant d’aller me coucher. En passant, je remercie Louise Archambault d’avoir adapter ce livre car c’est l’un des premiers films que je voie avec une distribution presque entièrement de comédiens âgés, à à la seule exception d’Ève et Éric.

 

 

C’est à voir avant que le film quitte nos salles de cinéma !

 

 

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