13 reasons why 2 – Coup de poing !

La suite est pire que le début

En bref, la saison commence cinq mois après la mort d’Hannah et c’est le début du procès de l’école Liberty High contre la famille Baker. Durant ce procès, on reviendra sur tous les personnages présents dans la saison précédente, ainsi que quelques nouveaux personnages. [Attention spoiler] Alex Standall qui, à la fin du dernier épisode, s’était tiré une balle dans la tête, est bien vivant, mais a besoin d’une canne pour marcher et a de la difficulté avec sa mémoire. De plus, Bryce a maintenant une blonde.

Nous verrons tout au long du procès, durant 11 épisodes, que Hannah n’était peut-être pas une enfant de cœur, mais que les parents de l’école sont aussi responsables de sa mort. J’ai adoré la deuxième saison, bien que les scènes de violences sexuelles soient très dures. On assiste à plusieurs revirements, qui nous font poser un regard différent sur la première saison. Hannah et Clay tentent par tous les moyens d’emmener Bryce en cours, l’accusant d’agression sexuelle sur Hannah et Jessica. Le jeu des acteurs reste des plus vrais dans 13 reasons why. Durant la durée complète de l’épisode 9, j’avais les larmes aux yeux tellement leur jeu est convaincant.

Culture du viol plus présente que jamais

Autant la première saison était très explicite, autant la deuxième saison est remplie de photos et de témoignages. À chaque épisode, notre bouche tombe en apprenant tout ce qui s’est passé l’été précédant le décès d’Hannah. Olivia Baker, la mère d’Hannah, est maintenant séparée de son mari qui a une nouvelle femme. Ce nouvel élément rajoute de l’huile sur le feu quant aux raisons du suicide de Hannah. La deuxième saison finit bien et l’on ne sait pas si une 3e saison sera réclamée par les admirateurs, puisque même la deuxième n’était pas prévue.

Je vous le conseille vivement si vous avez Netflix!

 

 

 

Laisser un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.